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Scieur mobile pour le plaisir : une thérapie relaxante

Sous Wood-Mizer, Europe

Jon Scott Lumber Yard

« Scier du bois avec ma scierie Wood-Mizer est un plaisir ! Je trouve ça relaxant et thérapeutique », déclare Jon Scott, scieur à New York, aux États-Unis

Jon Scott s’est intéressé au bois et à la menuiserie à l’âge de douze ans. « Mon lycée ne proposait pas de formations techniques, je suis donc un menuisier autodidacte. J’ai tout appris dans les livres et, désormais, je peaufine mon savoir en cherchant de nouvelles informations sur Internet », explique Jon. 

« Quand j’étais jeune, acheter du bois représentait une charge onéreuse », poursuit Jon. Il y a plusieurs années, il a sauvé de la mise au rebut plusieurs billes de chêne rouge, un énorme chêne blanc et un noyer noir. Jon s’est immédiatement rendu compte de la valeur que représentait ce stock de bois pour un menuisier et il a décidé de porter les billes à une scierie locale, pensant récupérer un bon volume de bois pour un prix dérisoire. 

« La scierie m’a facturé la somme astronomique de 19 000 $ ! » s’indigne Jon. « J’ai payé la même somme pour le sciage et le séchage des billes que je lui ai apportées que si j’avais acheté la même quantité de bois d’œuvre dans un négoce. Ça m’aurait même coûté moins cher chez mon revendeur de bois local. »

 

 

Cela a poussé Jon à s’intéresser de plus près au sciage, avec la promesse potentielle de faire des économies voire de lui apporter des revenus supplémentaires. « Ayant déjà vu les scieries Wood-Mizer en démonstration depuis plusieurs années lors de salons du bois et de foires dans le New Jersey, j’ai décidé d’en acheter afin de pouvoir débiter mes propres stocks de bois », explique Jon. « En tant qu’amateur, je m’adonne à différents travaux comme la menuiserie, le tournage de stylos et la fabrication d’éléments de construction à ossature bois. J’espère partir bientôt en retraite de mon activité principale mais je veux rester actif et continuer de m’amuser. De plus, étant d’un tempérament plutôt économe, je n’aime pas voir partir des billes de bonne qualité à l’abandon. Ce sont les principales raisons pour lesquelles j’ai acheté une scierie Wood-Mizer. » 

« Il m’a fallu environ deux ans avant de faire l’achat mais maintenant que je l’ai, je ne pourrais pas être plus heureux », reconnaît Jon.

 

 

Jon a choisi une scierie mobile Wood-Mizer LT40WIDE avec le système hydraulique de manipulation des billes. Wood-Mizer est une entreprise active depuis plus de 40 ans et elle a produit et vendu plus de 100 000 scieries dans le monde, dont un grand nombre de LT40. Récemment, Wood-Mizer a développé ce modèle bien connu en l’équipant d’une tête de scie large (WIDE) – précisément le modèle qu’a acheté Jon. La tête de scie WIDE présente une ouverture entre galets plus importante, qui permet à Jon de scier des plateaux d’une largeur allant jusqu’à 84 cm sans autre modification de la machine. Les bras de chargement hydrauliques permettent à Jon de monter la bille sur le banc de scie, puis il la fait pivoter à l’aide des commandes hydrauliques afin de la présenter de façon optimale avant de la bloquer fermement contre les supports latéraux du banc. Il règle ensuite la hauteur de passe et l’épaisseur de planche souhaitée avec le système de commandes électronique Setworks, et la tête de scie se positionne automatiquement à la hauteur utile. Il n’a plus qu’à commencer le sciage : les volants de lame en fonte entraînent la lame de scie à ruban et Jon débite ses planches l’une après l’autre. 

Jon passe presque tous les types de bois sur sa machine. « Quand j’ai commencé, j’étais prêt à scier n’importe quoi. J’ai ainsi perdu beaucoup de temps car je finissais par sortir de mon four de séchage solaire des bois courbés, vrillés ou inutilisables car remplis de nœuds. J’ai appris à être plus sélectif avec les billes que je scie », confie Jon. Avec sa scierie mobile Wood-Mizer, Jon parvient désormais à transformer des billes en en éléments de bois d’œuvre de valeur pour sa propriété. Dernièrement, il a effectué des rénovations dans sa propre maison avec ce bois, notamment en réalisant des claustras ou en réparant des portes endommagées. 

 

 

Pour un autre projet récent, il a eu l’occasion de scier un bois complexe à passer, du cerisier noir, et le résultat a dépassé toutes ses attentes. « Des amis, qui vivent à une heure de chez moi, ont fait un voyage en Islande et y ont vu de petites chapelles construites dans des fermes. De retour aux États-Unis, ils ont eu l’envie de construire une jolie chapelle sur leur exploitation. Je suis allé chez eux avec ma LT40WIDE et, en trois jours, nous avons scié tout le bois nécessaire à partir de frêne blanc, de cerisier noir et de sapin du Canada », explique Jon. 

Pour apprendre comment les amis de Jon ont bâti la Trinity Knot Chapel, lisez le récit « Construction d’une chapelle en bois exceptionnelle dans une ferme aux États-Unis. » Cette chapelle s’est avérée être tellement fabuleuse que Jon l’a présentée à un concours Wood-Mizer « Mon projet » et a remporté celui-ci ! La Trinity Knot Chapel a été récompensée meilleur projet dans la catégorie « Unique et inhabituel ». 

« J’ai déjà commencé un nouveau projet », indique Jon. « Avec quelques amis, nous avons décidé de remplacer les trente-six bancs en bois, d’environ 5 m de long chacun, d’une église. Les bancs d’origine ont plus de cinquante ans et ils n’ont pas été bien faits à l’origine : il y a beaucoup d’éléments en panneaux d’aggloméré recouverts de feuilles de placage en peuplier teint or le peuplier ne prend pas bien la teinte », explique Jon. 

 

 

Pour ces nouveaux bancs, ils ont décidé d’utiliser du frêne blanc provenant d’arbres victimes d’un parasite invasif : l’agrile du frêne. Récupérer et scier ces frênes endommagés permet de valoriser le bois  sur le long terme sous forme d’ameublement. « On tire le meilleur parti de cette catastrophe », déclare Jon. « Nous souhaitons que ce bois de valeur survive au travers de produits utiles. Nous en avons déjà scié et séché environ cinq mètres cubes. » 

« Je n’avais jamais imaginé que j’aimerais autant le sciage », reconnaît Jon. « Franchement, je préfère le sciage de planches et de poutres, plus encore que la fabrication de meubles ou tout autre type de produits. Je trouve que c’est amusant, relaxant et thérapeutique – J’ADORE ma Wood-Mizer ! » 

 

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