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Scier toute l’année dans la vallée du Haut-Verdon avec la scierie mobile Wood-Mizer LT70

Sous Marcin Kozłowski, PR Specialist

Year-round sawmilling in Haut-Verdon valley with the Wood-Mizer LT70 portable sawmill

 

« Je m’appelle Serge Jourdan. Je possède une scierie mobile à Beauvezer, village de la vallée du Haut-Verdon, dans les Alpes françaises. Pourquoi j’ai choisi la scierie LT70 ? Parce qu’elle est facile à déplacer. Je travaille dans une région montagneuse, et quand je vais sur les cols ou les sentiers forestiers à 2 400 mètres d’altitude, ma scierie parvient toujours à passer. Cette machine fonctionne pratiquement tous les jours de l’année ! » 

Serge travaille le bois depuis qu’il a 16 ans, ayant commencé comme bûcheron saisonnier dans la vallée. Il a toujours voulu travailler dans la forêt, raison pour laquelle il s’est formé dans un lycée professionnel délivrant un diplôme en production forestière. En 1993, il a fondé sa société d’abattage et de travail du bois, mais au vu de la baisse des rémunérations dans ce secteur, il a décidé d’étendre ses services au sciage. « Auparavant, j’avais brièvement travaillé dans une scierie stationnaire locale, mais j’avais vite compris que c’était une activité trop complexe pour avoir la flexibilité désirable vis-à-vis des clients. En 2000, je suis devenu le premier scieur mobile à la demande dans le secteur, avec une clientèle croissante », se rappelle Serge Jourdan. 

Bien qu’il ait été un pionnier de la scierie mobile dans la région du Haut-Verdon, Serge a dû batailler pour convaincre les locaux de la valeur réelle de leur bois. Pendant des décennies, les gens avaient prétendu que le bois de la région ne valait rien pour la construction, même si plusieurs vieilles maisons de village ont plus de 300 ans et sont toujours aussi solides. « Aujourd’hui, la question ne se pose plus, déclare Serge. On peut diviser mes clients en deux groupes : ceux qui viennent à mon entrepôt à la recherche de bois de mélèze de bonne qualité et d’origine locale, et ceux qui souhaitent que je vienne avec ma scierie mobile là où aucun autre scieur ne peut accéder. » 

 

 

La scierie mobile LT70 en montagne

Serge n’aurait pas pu réussir s’il n’avait pas disposé d’un engin de sciage efficace, sûr et mobile. La scierie mobile LT70 est sa seconde machine Wood-Mizer. Il s’est lancé dans le sciage en 2000 avec une LT40 d’occasion, qu’il a revendue avec environ 6 800 heures au compteur. « J’avais besoin de changer ma vieille LT40 pour une plus grosse machine. Les diamètres de sciage sont identiques pour la LT40 et la LT70, mais avec la LT70 je peux travailler plus rapidement. J’ai opté pour la scierie LT70 parce que je gardais de ma LT40 le souvenir d’une machine durable, facile à utiliser et à entretenir, avec seulement quelques pièces qui s’usaient et qu’il fallait remplacer périodiquement. De plus, la LT40 était idéale à remorquer avec mon 4x4. »

La scierie mobile Wood-Mizer LT70 est un engin fiable, capable de relever les défis du sciage mobile en montagne. Serge utilise sa LT70 aussi bien pour travailler sur son propre site de production qu’en déplacement. « Quand je suis sur le site du client, en montagne, je peux travailler avec ma LT70 même sous la pluie. Ça prend parfois du temps d’installer la machine sur un terrain inégal et détrempé, mais au final le travail arrive toujours à se faire, explique Serge. Je recommanderais la LT70 aux autres scieurs, parce qu’elle est à la fois facile à utiliser et à transporter, surtout avec le banc M (long de 6,50 mètres), qui est le meilleur choix sur les routes de montagne et les sentiers forestiers. »

« Je me souviens d’un scieur à la demande qui fournissait à ses clients de longues poutres faîtières qu’il traînait avec un camion militaire. Un jour, il m’a demandé de lui donner un coup de main pour rejoindre certains de ses clients, parce qu’il n’arrivait pas à franchir certains chemins et routes de montagne difficiles. Il lui aurait fallu plus de trois heures pour arriver, alors qu’avec ma voiture et la LT70 en remorque, ça nous a pris seulement une heure. J’ai été content de pouvoir lui rendre service ! »

 

 

Le meilleur investissement dans les équipements Wood-Mizer

À côté de sa scierie mobile LT70, Serge possède d’autres équipements Wood-Mizer qui lui permettent d’être complètement indépendant. Pour compléter sa machine, il a acheté des extensions de banc lui permettant de scier des billes d’une longueur maximale de 12 mètres. Dans son atelier, il possède également un équipement Wood-Mizer pour l’entretien des lames – deux affûteuses, une avoyeuse –, ainsi qu’une raboteuse/moulurière quatre faces Wood-Mizer pour réaliser des produits finis. Il possède aussi un four pour sécher le bois.  

« La combinaison de la raboteuse/moulurière quatre faces et du séchoir à bois s’est avérée un bon investissement, explique Serge. Quand je transforme des billes en bois d’œuvre, il me reste toujours quelques planches en surplus après avoir servi la commande d’un charpentier. Vendre ces planches en vrac n’était pas très intéressant, alors j’ai eu l’idée de sécher le bois et de le vendre sous forme de produits finis. J’ai acheté un séchoir à bois qui utilise un container à température contrôlée de 6 mètres de long, et une raboteuse/moulurière pour faire des bardeaux de mélèze, des lames de plancher et de l’ossature bois pour la construction. »

 

 

Une lame de scierie pour chaque type de bois

Avant d’acheter une scierie portable Wood-Mizer, Serge avait travaillé dans une scierie stationnaire locale et y avait acquis beaucoup d’expérience dans l’entretien des lames. « J’ai toujours affûté mes lames moi-même. Avant l’achat de ma scierie mobile, j’avais suivi une formation de base sur l’affûtage des lames de scies à ruban vertical qui m’a bien rendu service plus tard, quand j’ai eu à affûter mes propres lames pour la scierie Wood-Mizer. »

Dans son atelier il a deux affûteuses – l’une pour les profils 10/30, qu’il utilise le plus souvent, et l’autre pour les 13/29 ou 4/32, suivant les besoins. Serge a toujours les trois profils dans son stock de lames. Il utilise le profil 4/32 pour le bois sec et les feuillus, et 13/29 pour les résineux, pins ou mélèzes. « J’ai deux types de lames à profil 10/30 – lame avoyée ou lame à pointes Stellite. J’utilise toujours une lame avoyée si j’ai une incertitude au sujet de la grume, ou s’il y a des clous ou des débris de métal. Dans les autres cas, j’emploie une lame de scierie à pointes Stellite », explique Serge.

Sa connaissance des lames permet à Serge de travailler une grande variété d’essences disponibles dans la vallée du Haut-Verdon. Dans le fond de la vallée, on trouve du pin sylvestre, tandis que plus en altitude on voit davantage de mélèzes, l’essence préférée de Serge. Plus bas dans la vallée, on rencontre le pin d’Alep, de plus en plus populaire pour la construction. Au bord de la rivière, il y a aussi des feuillus, comme le chêne ou le frêne. Sur le Mont Ventoux, il lui arrive même de tomber sur des essences rares – cyprès ou cèdre. « Durant les 22 années qui se sont écoulées, j’ai dû scier pratiquement toutes les essences possibles, même des arbres qui ne poussent pas en France. J’ai scié de l’olivier de Bohème, de l’arbre de Judée, du buis, du poirier, de l’abricotier… avec ma scierie LT70 et la lame Wood-Mizer adaptée, je peux scier toutes les essences de bois ! » affirme Serge. 

 

 

Un service client étendu 

Serge Jourdan a bâti sa réputation dans la vallée non seulement en fournissant du bois d’œuvre de première qualité aux charpentiers locaux ou en sciant à la demande dans les coins de montagne difficiles d’accès, mais aussi en assurant le meilleur service client pour les autres propriétaires de Wood-Mizer. À côté de sa florissante entreprise de scierie, il est également représentant Wood-Mizer depuis plus de 22 ans. Ses responsabilités comprennent l’assistance technique, les travaux de réparation et d’installation, la formation des nouveaux utilisateurs et la présentation des scieries Wood-Mizer dans divers salons et expositions. 

« Je me suis toujours efforcé de répondre le mieux possible aux demandes des clients. Quelquefois, je répare une scierie avec le client au bout du fil, sans attente. Pouvoir assurer une assistance client dans les cas d’urgence est un plus considérable. Je sais ce que l’on ressent quand on se retrouve à scier en montagne au mois de novembre et que de jour en jour on voit s’accumuler 50 ou 60 cm de neige. Sans la pièce détachée dont vous avez besoin, vous ne tiendriez sans doute pas un jour de plus à scier là-haut », explique Serge. 

 

 

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