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La passion d’un scieur dans les Alpes françaises pour son métier et sa scierie mobile Wood-Mizer LT70

Sous Marcin Kozłowski, PR Specialist

Un scieur dans les Alpes françaises, avec la scierie mobile Wood-Mizer LT70

 

Quelle est la meilleure scierie pour travailler en région montagneuse ? En effet, pratiquer le sciage dans les Alpes suppose, de la part des professionnels locaux, d’avoir un caractère bien trempé et de la détermination. Remorquer les scieries sur les routes de montagne peut représenter un défi, même pour les scieurs les plus expérimentés. En dehors des compétences techniques et de très bonnes connaissances du bois, il faut à ces professionnels du matériel adapté pour exercer leur métier correctement.

Xavier Poulat, qui vit et travaille autour de la région montagneuse du Trièves, dans le massif du Vercors, assure que la meilleure scierie qu’il ait jamais possédée est la Wood-Mizer LT70 mobile équipée de l’ensemble des fonctions hydrauliques et d’une unité de contrôle sans fil. Il parle par expérience, puisque cette LT70 est la cinquième machine Wood-Mizer qu’il utilise depuis le début de sa carrière.

 

 

Il existe un marché important pour les travaux de sciage à façon autour de Monestier-de-Clermont, petit village du Trièves, une région des Alpes françaises. Les locaux ont besoin de bois d’œuvre de bonne qualité pour la construction, l’entretien des fermes ou la fabrication de meubles. Ils savent qu’ils ont la chance de disposer de forêts abondantes, et ils préfèrent que leur bois soit d’origine locale et fasse tourner l’économie locale. Pour les habitants des environs, les arbres sont un don de la nature et ne doivent en aucun cas être gaspillés. 

« Il m’est souvent arrivé de voir de magnifiques feuillus être abattus et vendus comme bois de chauffage. Je me sentais mal, en pareil cas, parce que je savais que ce bois méritait bien mieux. Il aurait pu être utilisé en menuiserie, en ébénisterie ou en charpenterie. Dès que j’ai trouvé la scierie adaptée à mon travail, j’ai considéré comme ma mission de sauver le bois local et de permettre aux habitants d’en profiter. Aujourd’hui, je travaille exclusivement avec des arbres qui ont poussé ici, et pour la communauté locale », explique Xavier Poulat, fort de ses 26 années d’expérience avec des scieries Wood-Mizer.

 

 

Xavier Poulat est né dans une famille de fermiers avec un lien fort à la terre et à la forêt. Le rêve de son père était de le voir travailler dans une ferme, mais Xavier a préféré se lancer dans le sciage. « Avant de démarrer mon entreprise, j’avais fait 15 ans de travail forestier, en apprenant de mes deux frères bûcherons. En 1994, dans un salon sur les activités forestières, j’ai vu une scierie mobile pour la première fois, et j’ai été fasciné par cette idée. J’ai immédiatement contacté le représentant Wood-Mizer, et j’ai signé le bon de commande un peu plus tard dans la journée », raconte-t-il. 

Ses débuts dans le sciage ont été une histoire de passion et d’activité débordante ; il n’a eu aucun mal à trouver des clients intéressés par ses services. Apprendre à utiliser la scierie a été relativement facile, même s’il lui a fallu acquérir les bonnes techniques pour l’entretien des lames. « À l’époque, c’était toute une affaire d’affûter et d’avoyer une lame de scierie. Aujourd’hui, les lames sont plus efficaces, je les entretiens moi-même avec l’équipement d’affûtage Wood-Mizer. Un scieur ne rencontre aucune difficulté dans l’utilisation et le réglage d’une scierie Wood-Mizer, même s’il n’a que peu de connaissances en mécanique générale », affirme Xavier Poulat.

 

 

Il utilise une Wood-Mizer LT70 et admet volontiers que cette cinquième machine est de loin la meilleure de toutes ses scieries Wood-Mizer. Tout au long des années, ses machines Wood-Mizer ont démontré robustesse et fiabilité, et ont toujours représenté un excellent investissement. « J’ai suivi l’évolution des machines Wood-Mizer depuis que l’entreprise est apparue sur le marché français. J’essaie de monter en gamme tous les quatre ou cinq ans, au fil des améliorations qui apparaissent sur les machines. J’ai commencé avec une scierie LT40 à essence, que j’ai ensuite changée pour une LT40 diesel, et ces dernières années je n’ai eu que des LT70. J’en suis à ma troisième ! », déclare Xavier Poulat. 

La scierie mobile LT70 est un choix idéal pour les scieurs qui passent de grandes quantités de bois et ont besoin d’un rythme de production rapide. La LT70 de Xavier étant une machine mobile, cela lui permet de circuler facilement dans les environs pour faire du débit à façon. Il ne s’imagine plus pouvoir travailler sans les fonctions hydrauliques du banc de la scierie, qui comprennent les équerres verticales latérales, la pince de serrage centrale à double axe et le retourneur à chaîne. Pour allonger la durée de vie de ses lames, la machine est également équipée de l’écorceuse. Xavier Poulat apprécie tout particulièrement le pupitre de pilotage radiocommandé, qui lui permet d’utiliser commodément sa machine par tous les temps. « Comparée à mes anciennes LT40, la LT70 travaille plus vite et possède une capacité de sciage supérieure. Je suis maintenant capable de tourner facilement les billes de grand diamètre, ou de forme tordue, grâce aux fonctions hydrauliques du banc. De plus, tous les contrôles sont présents sur la radiocommande, ce qui me permet d’évoluer autour de la scierie et de trouver l’emplacement qui me convient le mieux. Toutes ces fonctions sur la LT70 m’ont permis d’améliorer ma façon de travailler », constate Xavier Poulat. 

 

 

Il travaille localement, dans un rayon de 100 km, pour des clients qui lui fournissent du bois d’œuvre, lui aussi, d’origine locale. Il est apprécié pour sa grande adaptabilité, car il arrive généralement à remorquer sa scierie mobile LT70 sur presque tous les chantiers désignés par les clients et à y réaliser des prouesses en termes de sciage. « Les gens apprécient que je me déplace jusqu’à leur site avec la machine et que je réalise l’ensemble du travail. Je peux leur fournir planches, dosses, poutres de charpente. Dans ma carrière, j’ai scié tous les bois imaginables : résineux, feuillus, peuplier, châtaignier, etc. Je n’ai jamais manqué de travail : je passe environ 1 000 m3 de bois par an », indique-t-il. 

Et de conclure : « Je travaille avec des constructeurs indépendants, qui savent comment organiser le travail pour être pleinement efficaces. Ils utilisent des tracteurs pour empiler les billes près du site de sciage avant mon arrivée, enlèvent les planches fraîchement coupées pendant le travail et les empilent. Mes clients me réclament souvent des poutres de 6,50 m, qui servent à la construction des maisons à ossature bois, mais, dans le temps, je faisais même des poutres encore plus grandes. Grâce à ma première LT70, qui était montée sur un banc de 8,50 m, j’allais dans les différentes stations de ski pour des contrats de sciage : ce n’était pas rien de remorquer une machine de près de 3 tonnes sur des chemins de montagne boueux, avec presque aucun dégagement ! Maintenant, je travaille avec un banc de 6,50 m seulement, c’est un bon compromis entre capacité et mobilité. » 

 

 

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